25 Septembre 2017
C est une ville agreable à vivre. Le port, coeur névralgique, est bien protégé derriere Russky island qui est un havre de paix aux portes de la ville
Anton, le transitaire qui s'occupe du transport de raphlette nous présente Roman qui peut faire un lifting aux ailes de Raphlette qui ont souffert
Il nettoye, découpe et soude une plaque de renfort de4mm
Après 1 journée de travail, Raphlette est comme neuf. Roman est déçu car il n'a pas trouvé la couleur identique.
Raphlette doit monter plus vite que prévu sur le flat rack sur lequel il restera pour le voyage en bateau.
Cette operation doit se faire 10 jours avant la date du depart.
On ne comprend pas tout, ni pourquoi .
mais heureusement, on fait pleine confiance au cousin Pascal Basset qui gère ce transport depuis ses bureaux de Marseille. C est son metier le transport internationnal. Il connait mieux les tracas de ce genre de transaction et nous rassure.
Raphlette est hissé sur le camion qui va le conduire au port.
On le suit jusqu aux portes du port commercial. Le tout mesure 5m25 de haut et il faut traverser toute la ville.
On est terrorisé à chaque arbre, chaque panneau publicitaire,chaque pont, chaque fil électrique. Le chauffeur rouke à plus de 60 .Bref les 30mn semblent interminables.
Arrivés à la porte du port , on se dit:
À partir d'ici tout va bien!!!!! Oui........mais non.....(oui le revoila)
Il y a une passerelle. L avant de Raphlette frappe avec violence le panneau de signalisation de gabarit du pont. On est derriere dans la voiture de Anton et on pousse tous les trois un cri.
Le connvoi s arrete.le pont est à5m15.
Les amortisseurs pneumatiques du camion de transport sont abaissés au maximum. Le convoi avance au pas.
On attrape une lampe pour monter voir les degats. (Oui bien sur .li fait nuit, pour rendre le tout encore plus stressant)
Mais on ne nous laisse pas le temps. Le convoi rentre au port commercial.
A partir de ce moment. On n'a plus accès au vehicule.
Raphlette foit rester tout seul au milieu des milliers de containers.
Après deux jours les documents douaniers sont faits.
On est inquiet pour les dégats éventuels sur le toit. Anton tente de nous rassurer en disant que le chauffeur a controlé pendant le déchargement mais notre confiance est très limitée .
Devant notre insistance et au bout de 2 jours, Anton nous envoit des photos qui nous rassurent.
On n'a plus rien à faire à Vladivostok et Pascal s'occupe des nombreuses paperasses.
On part pour bali
Pour ce qui est des photos des magnifiques plages, des beaux paysages et de tout ce qui était beau , tout restera dans nos mémoires. Rien ne sera vu. L appareil a pris l 'eau.